Belgique/France

Les diamants du sang

En télé moustique, le pendant de Humo:

"D'Anvers à Johannesburg, la traque nous ne nous laisse aucun répit, enrichie par le défilé de personnages bien campés et une approche de milieux totalement ignorés du commun des mortels. Porté par un humour caustique, un sens de l'action digne des romans anglo-saxons, ce thriller mérite d'être découvert."
LA LIBRE BELGIQUE du 3 juin 2005 de Jacques Hermans: "Les diamants du sang" est un conte noir et violent, un songe où les protagonistes ont pris corps. Grâce à une écriture précise et incantatoire, l'auteur ne se laisse pas enfermer dans le dilemme entre réalisme et fantastique. C'est là sa force.
..."ce maître flamand du thriller"

Le titre: Envers de la corruption (en France Anvers se prononce comme envers).
 
Métro20 juin 2002

La force du feu de Bob Mendes

 
Bob Mendes décrit avec maestria les luttes d'influence qui déchirent le Moyen-Orient avant la chute du Shah d'iran, sur fond d'affrontements entre les grandes religions et de course aux pétrodollars.


CRITIQUES LIBRES 30 septembre 2002

Si on reparlait de Zarathoustra ?

Une lampée de Zarathoustra dans le pétrole, voilà un bien curieux mélange pour ce "thriller" hollandais qui vous surprend comme un vieux genièvre. Un cocktail détonnant, il va de soi. Et, ça va péter ferme, foi de Persée ! Mais ne comptez pas sur moi pour vous vendre la mèche...

Vous serez parachuté dans le feu de l'action dès la première page, puis vous vous retrouverez victime d'une traque haletante qui vous fera fuir à toutes jambes d'Iran en Israël en passant par l'Alaska, histoire de se rafraîchir. Vous assisterez aux chambardements qui ont secoué l'Iran depuis 1953 et, du même coup, vous comprendrez un peu mieux les enjeux d'une lutte pour le pouvoir dont l'arme maîtresse, on le devine, sent le pétrole à plein nez.

Est-ce le caractère volatile de l'or noir qui appelle la religion ? Allez savoir ! Toujours est-il qu'ici, les parfums de l'une se mêlent aux remugles de l'autre. Car, si les prophètes ne connaissaient pas le pétrole, ils avaient déjà leurs idées. Zarathoustra, pour le Zoroastrisme (ou mazdéisme), Mahomet pour l'Islam, etc... Rude concurrence. Et à en croire Mendès, c'était Zarathoustra qui régnait en maître du temps du Shah, à travers une élite de conseillers. Les forces du Bien et du Mal s'affronteront donc, sans que l'on sache tout de suite dans quel camp on se situe. Que voulez-vous : telle est la force du feu : il éclaire autant qu'il détruit...

Tous ces ingrédients sont ici au service de l'action qu'ils pimentent joliment. Elle se déploie tel un bataillon d'infanterie sur un terrain miné, sans qu'on ait vraiment le temps de s'inquiéter de sa vraisemblance. Bien campés, les personnages tiennent la route comme une 4x4 dans la caillasse. Ca vous secoue comme un bobsleigh sur une piste olympique. Ca joue avec vos instincts primaires, vous prend par les sentiments sur un fond de géopolitique bien croqué. Bref, ca vous chatouille de partout : un régal !

L'écriture ? Mendès manie le stylo-caméra, allant jusqu'à nous repasser une même scène, vue sous des angles différents qui l'éclairent à chaque fois un peu plus. Les travellings, avec vue aérienne sur la foule fanatisée qui se répand dans les artères de Téhéran à l'appel de Khomeini, valent le détour. Voilà du cinéma à grand spectacle qu'on risque de retrouver sur les écrans.

La traduction d'Emmanuèle Sandron se fait tellement fluide et transparente qu'on croirait ce livre écrit depuis toujours en français. A dévorer!



Septentrion (4° trimester 2002)

A l'instar des grands auteurs de thrillers anglo-saxons in effectue des recherches approfondies sur son sujet et opte délibérément pour un cadre international adapté aux dimentions des complots qu'il concote. Il n'est pourtant nullement perçu comme un épigone, mais comme un narrateur-né, d'oté d'une imagination particulièrement fertile (...)

(...) sa façon d'éclairer la psychologie d'un potentat tel que Razdi, et celle de son entourage, est tout simplement magistrale et in est très difficile de le surprendre en train d'afficher ses préférences: tous ses personnages sont également fouillés et vraisemblables.


La Force du Feu

COMMUNIQUE DE PRESSE

Editions Luce Wilquin
24 janvier 2002


Un nouveau roman à découvrir en février

L’Iran de 1953 à 1978... La corruption, le désordre, la chute du shah et l'ascension de Khomeiny au pouvoir. Mais aussi le problème d'Israël (déjà!) et... les pétrodollars qui mènent la danse. Un roman à suspense de grande envergure, fruit d une recherche impressionnante dans les domaines de la politique, de l histoire sociale et du zoroastrisme.
Best-seller incontesté dans les pays néerlandophones, ce thriller politique a déjà été traduit en allemand, en anglais, en espagnol, en japonais, en tchèque et en bulgare... mais pas en français. Oubli réparé!
Bob Mendes, porté aux nues par la presse, est souvent comparé à Ludlum, Clavell et surtout Forsyth, qui a déjà fait appel à lui pour une anthologie américaine.
La force du feu
de Bob Mendes
thriller traduit du néerlandais par Emmanuèle Sandron
sort de presse le 21 février 2002
aux Editions Luce Wilquin

L'écrivain (et de nombreux autres) sera présent à la Foire du Livre, sur notre stand B3-1. La Force du Feu
Pour tous compléments d'information, visuels ou service de presse, n'hésitez pas à nous contacter:
tél./fax + 32 19 69 98 13
wilquin.bouquin@skynet.be
http://www.wilquin.com

Emmanuèle Sandron Lettre du 4 avril 2002 d'

Emmanuèle Sandron

traductrice littéraire de "La Force du Feu"

Chère Bob,

J'ai lu De smaak van vrijheid en une semaine, à coups de 50-60 pages, c'était absolument fabuleux. Ce livre est important, parce qu'il restitue la mémoire des camps, qu'il apprend des choses que les gens de ma génération connaissent mal (j'ai beaucoup appris), mais il est aussi terriblement émouvant et touchant. Tous les personnages sont extrêmement forts et présents. C'est très intéressant d'entrer dans ce livre-là après avoir traduit La force du feu. On ne peut s'empêcher de voir les points communs, les obsessions communes et les grandes forces d'une oeuvre en train de se faire.
Tu m'écrivais, après la foire du livre:. J'ai été très heureuse que tu me dises cela, car cela correspondait réellement à ce que je ressentais. Je suis en effet emplie de sentiments positifs et je suis fière d'avoir commencé ma carrière de traductrice littéraire avec toi.
Je le suis encore plus maintenant que j'ai lu De smaak van vrijheid... Ce qui est étrange, c'est que je sentais en moi depuis un certain temps qu'il faudrait que j'écrive un jour quelque chose sur la 2e Guerre Mondiale... Traduire De smaak van vrijheid en français, ce serait pour moi 1) transposer une très belle oeuvre littéraire, 2) transmettre la mémoire d'une époque et 3) contribuer à réconcilier le nord et le sud du pays, car ce livre pourrait aider une certaine opinion publique francophone à nuancer son avis sur la position des Flamands durant la guerre... Ce livre donne le goût de la liberté, mais aussi le goût de l'amour, de l'amitié et de l'honneur.
J'aurais envie de poser beaucoup de questions au petit David, mais je n'ose pas... Je me dis que les réponses que je cherche sont habilement distillées dans l'oeuvre de Bob adulte...
Donc, je crois que tu l'as compris, ma réponse à ta question n° 1 est oui: oui, j'aurais le même enthousiasme créatif à traduire Le goût de la liberté!


Je t'embrasse
Emmanuèle


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